Coralie Lambert

Fond cairn en galets

Mon parcours

Diplômée en kinésithérapie en 2010, j’ai suivi un cursus en ostéopathie pour lequel j’ai été diplômé en 2015. J’exerce en temps qu’ostéopathe à titre unique et principal depuis 2017.

Je travaille en cabinet privé depuis 2010.

Au cours de mon parcours j’ai eu l’opportunité de travailler et d’ainsi me former en pédiatrie tant en kinésithérapie, auprès de François Bertrand (2010-2011), qu’en ostéopathie avec Marie-Caroline Willième (« Centre Haptis » 2016-2017).

Cette prise en charge pédiatrique m’a permis de réaliser l’importance de la combiner avec le suivi des mamans, dès les prémices de la préconception de l’enfant.

Dès lors, je me suis formée davantage dans ce domaine et reste en formation continue au niveau de la périnatalité.

Ces derniers temps, l’attrait pour la période préconceptuelle a pris beaucoup de place dans ma pratique et mes réflexions. Il me semble indispensable que les mamans soient vues avant même qu’elles ne soient enceintes, au moment de la préconception, ce qui est encore peu développé pour le moment.

Les séances d’ostéopathie remplissent ainsi leur rôle de prévention. Augmenter les chances d’une maman d’être enceinte plus facilement et rester une personne relais via un accompagnement dans tout ce chemin, parfois long, sinueux et semé d’embuches, qu’est la grossesse, ajoute un grand attrait à ma pratique. C’est pourquoi, dans mon approche thérapeutique, je propose aux parents une prise en charge pré-conceptuelle complétée par un suivi de grossesse et une réharmonisation post-accouchement pour la maman ainsi que pour l’enfant.

Mon approche

La douleur et la limitation de mouvement (blocages) sont les principales raisons qui poussent un patient à consulter un ostéopathe.

Afin d’établir un diagnostic, l’approche thérapeutique commence par une analyse globale du patient, une observation de sa qualité de mouvement et de ses zones de tension (l’anamnèse). L’ostéopathe peut faire usage de plusieurs techniques regroupant les manipulations vertébrales, les mobilisations articulaires et viscérales ainsi que les techniques crâniennes. Le choix de la technique dépendra du type de dysfonctionnement diagnostiqué mais également de la communication entre le patient et le thérapeute. La démarche de l’ostéopathe n’est pas de remettre « un corps droit » ou une vertèbre « à sa place », mais bien de libérer les structures du corps afin qu’elles puissent retrouver leur mobilité et libérer le patient de sa douleur.